2020 c’est parti ?
Bonjour à tous,
Enfin ceux qui ont eu le courage de rester même quand les rats ont quitté le navire tellement il était devenu fantôme depuis des mois XD
Pardonnez-moi cette longue pause, mes questionnements métaphysiques sur le quoi faire de ma vie pour m’épanouir ont pris beaucoup d’ampleur et donc j’ai eu besoin de temps pour questionner le sens de cette démarche d’écriture.
Ce qui m’amène à vous dire que je n’ai pas fait mon traditionnel bilan de fin d’année et que je n’ai pas fait de plans pour 2020, si ce n’est d’enfin ETRE en amour et en paix avec moi-même ! Voilà mon objectif cette année c’est de m’aimer en profondeur, accepter de voir à quel point je suis une personne exceptionnelle et enfin me libérer du regard des autres et surtout de ceux qui ne sont pas d’accord avec ce que je viens d’écrire 🙂
Pour commencer cette année donc, je fais du recyclage, en vous partageant un texte que j’ai écris il y a super longtemps, à l’époque où je me demandais si j’allais vraiment me mettre à écrire. J’ai beaucoup rigolé en le lisant, en me disant que je suis toujours en phase avec la fille qui a écrit ce texte. J’ai eu une réponse à ma démarche d’écriture dans un TEDx que je n’avais pas prévu de regarder (merci youtube pour ton autoplay random ! for once !) Le voici : https://www.youtube.com/watch?v=3-FiqgVzXqY
Cette personne a répondu à une de mes plus grandes questions, à savoir : « mais pourquoi tu ferais un truc pareil, ça ne va intéresser personne »
Celui qui trouve la réponse que j’ai trouvé à cette question dans la vidéo, je lui offre un dîner 😉
Il est temps pour moi de vous saluer, de vous souhaiter le meilleur pour chaque instant de votre vie ! Voici le vieux texte dont je vous parlais !
« C’est l’histoire d’une génération paumée qui vit dans un monde de surconsommation, qui veut tout avoir, qui pourrait tout avoir mais qui, dans le fond, ne sait pas vraiment ce qu’elle veut.
Mais concrètement ! Le monde dans lequel elle vit lui vend un idéal qui va à l’encontre de sa nature profonde.
Alors à 20, 30, 40, 50 ans… on a coché les cases : le boulot qui paye bien, le mariage, les gosses, la belle voiture, la balançoire dans le jardin, le labrador, la maison et le crédit qui va avec… On a coché les cases mais on n’est toujours pas heureux et on ne comprend pas pourquoi ! On nous avait pourtant tracé la voie, la grosse flèche qui te dit c’est par là le bonheur ! Et nous ne nous sommes pas posé la question, nous y sommes allé de bon cœur. Finalement au bout du chemin sinueux, tortueux, où on a « fait nos choix »… au bout de ce chemin, on se retrouve face au vide, à notre vide intérieur… qui nous ronge. Alors il y a les optimistes qui continuent d’avancer, dans cette pseudo-galère suffisamment confortable pour ne pas la quitter, en se disant que le bonheur va venir. Il y a ceux qui font une dépression et qui sombrent un peu plus chaque jour. Il y a aussi ceux qui quittent tout pour tout recommencer, se lancer le défi d’une nouvelle vie dont le but est de se trouver soi ! Nous vivons tous dans la peur… peu importe les choix ! Et alors comment faire sienne cette peur glaçante de l’incertitude, du sentiment de passer à côté d’une vie meilleure. Comment faire de nouveaux choix ? Et si on se plantait ENCORE ! Trouverons-nous le bonheur ? Ne dit-on pas que le bonheur réside dans notre capacité à vivre l’instant présent, à le célébrer comme si tout pouvait s’arrêter d’un instant à l’autre ! Facile à dire ! mais on a tous en nous cette petite voix qui nous rappelle à « l’ordre » : « Et le confort ? », « Et la sécurité ? », « Et le qu’en dira-t-on ? » bla bla bla. L’ego nous ramène inlassablement à nos peurs, nous paralyse, nous fait cogiter des heures, la nuit surtout… à l’heure où les vainqueurs, ceux qui ont trouvé la paix intérieure, dorment paisiblement. Ceci dit que fait-on ? Que devons-nous faire ? Où aller ? Comment rompre avec le doute ? Est-on encore capable de prendre des décisions sans être influencé par la société de consommation qui nous livre ses schémas d’idéal ? Et si oui, comment ? A-t-on jamais pris une décision ? sans influence ? Et si j’écrivais un livre ? Serait-il mieux de commencer par un blog ? Quand on écrit pour les autres, on choisit le genre, le style, le message. On l’utilisera comme catharsis ou non. Quand on veut parler aux autres, on dit « Je », on parle de soi, de ses expériences. Dans une certaine mesure, on a soif de nourrir notre ego avec les futurs messages qu’on espère recevoir de nos lecteurs. J’ai un tas de choses à dire mais qui cela intéresse vraiment ? Est-ce même intéressant ? Je répondrais que tout d’abord j’aime parler, je suis intarissable. Je ne suis experte en rien mais j’ai un avis sur tout (ou presque… j’avoue qu’en géopolitique je n’ai pas de mot à dire). Alors ce premier texte pour en amorcer d’autres. En tant qu’experte de la non-expertise, je m’intéresse à tout (ou presque) et rêve de découvrir et d’apprendre des milliers de choses chaque jour. Et je crois qu’accessoirement j’ai envie de partager « mes découvertes » avec le monde. J’ai toujours rêvé d’avoir une passion, une vocation, d’être douée dans un domaine précis. J’ai cherché et cherche encore, peut-être qu’un jour je trouverais… En attendant, j’avance sur une nouvelle voie, j’entame un nouveau départ ! J’ai commencé 2018 en n’ayant plus de boulot, plus de « mari », plus de maison pour mon plus grand soulagement. Heureusement, j’ai l’amour de ma fille, de mes chats (oui, je fais partie de ceux-là), de ma famille, des mes amis dont je chéris la présence chaque jour, car sans eux, je dirais de ma vie qu’elle est un enfer. Je ne vous le dis pas assez, Je vous aime ! Je veux écrire des choses positives, qui font réfléchir, qui aideront pourquoi pas ! A se sentir moins seul par exemple. Les cogitations, les questionnements, les doutes… Si on les utilise à bon escient peuvent être moteur. Je suis pleine de joie de vivre malgré le constat peu réjouissant que je livre ici. Si ce texte est public, c’est que je suis une grande fan de citations et de synchronicités ! Je me plaignais du bien fondé de cette entreprise d’écriture quand je suis tombée sur la citation suivante : « Si tu penses ne pas pouvoir faire quelque chose, fais-le quand même. Ça s’appelle dépasser sa zone de confort. C’est là que se trouvent les miracles. » Ce n’est pas de la grande littérature, je le concède, mais je me lance juste pour le défi ! Peut-être que les miracles suivront 😃 » PS : Je fais de mon mieux pour livrer des textes écrits correctement, proprement, sans faute. Hélas, malgré ma licence de lettres modernes, je dois avouer que je reviens de loin (coucou l’EN ^^) concernant le bien écrire sans faute ! Alors n’hésitez pas à m’envoyer un message pour m’indiquer les coquilles et les grosses erreurs, ça me fera travailler sur ma honte et sur mon attachement aux regards des autres 😉